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• Les relevés sur l’eau et sur le rivage se poursuivent. Depuis le retrait des six boules de goudron du rivage la semaine dernière, aucune pollution supplémentaire n’a été observée.
• À ce jour, 230 mètres cubes de carburant ont été retirés de la cuve, remplissant les quatre réservoirs de fracturation de la barge. Ce carburant sera maintenant transféré sur le MSC Celine qui se trouve à quai à Corner Brook. Des barrages flottants seront disposés à titre préventif pendant le transfert.
• Il reste environ 1 475 mètres cubes de carburant sur le navire. Le chauffage et le pompage du carburant dans les réservoirs sur le pont du MSC Baltic III, ainsi que le transfert vers la barge, se poursuivront aussi longtemps que le temps le permettra. À l’heure actuelle, les entrepreneurs s’efforcent de faire le maximum profitant d’une météo clémente qui devrait durer toute la fin de semaine.
• La Garde côtière canadienne demeure sur place et travaille avec l’entreprise de sauvetage pour s’assurer que les contaminants sont retirés du navire aussi rapidement et en toute sécurité que possible.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Une zone d’urgence et de restriction des drones de 1 mille marin reste en place sur le site du MSC Baltic III pour la protection et la sécurité des intervenants et du public.
• Toute activité non liée aux opérations de sauvetage est interdite à l’intérieur de la zone de restriction.
• Pour en savoir plus :

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Depuis l'après-midi du 11 avril, six boulettes de goudron ont été trouvées sur une plage près du site où a échoué le MSC Baltic III. Aucune autre pollution n’a été observée.
• Le 21 avril, un réservoir de fracturation sur le pont du MSC Baltic III a été vidé avec succès et le pétrole a été transféré sur la barge.
• Les mauvaises conditions météorologiques dans la région ont entravé les opérations de chauffage et de pompage, mais elles se poursuivront dès que les conditions le permettront.
• La Garde côtière canadienne demeure sur place et travaille avec l’entreprise de sauvetage pour s’assurer que les contaminants sont retirés du navire le plus rapidement possible.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Lors d’un relevé prévu du littoral, effectué le 11 avril après-midi, une boulette de goudron a été trouvée sur une plage près du site où a échoué le MSC Baltic III. Le 12 avril, deux autres boulettes de goudron ont été retrouvées sur la plage.
• Les substances goudronneuses, ayant à peu près la taille d’une balle de tennis, ont été récupérées pour être analysées afin d’en déterminer la source. Aucune autre trace d’hydrocarbure n’a été observée .
• Le 13 avril, un relevé sous-marin a été effectué et aucun signe d’hydrocarbures n’a été observé.
• Les relevés sur l’eau et les rives se poursuivent.
• Le travail visant à chauffer et à pomper le carburant dans les réservoirs a repris sur le pont du MSC Baltic III. Lorsque les conditions météorologiques le permettent, la barge longera le navire échoué où le carburant sera transféré dans les réservoirs de la barge.
• La Garde côtière canadienne demeure sur place et travaille avec l’entreprise de sauvetage pour s’assurer que les contaminants sont retirés du navire le plus rapidement possible.

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• Les équipages de la Garde côtière canadienne poursuivent leurs évaluations sur l'eau et le rivage du site du MSC Baltic III. Aucune pollution n'a été observée à ce jour.
• Les sondages des réservoirs en cours ont réduit l'estimation initiale de carburant lourd et de gasoil marin sur le navire de 1 710 tonnes métriques à 1 600 tonnes métriques.
• Le chauffage et le pompage du carburant ont commencé et se poursuivront, dans la mesure où les conditions météorologiques et maritimes le permettront. À ce jour, 184 mètres cubes de carburant ont été pompés dans les réservoirs de fracturation à bord du MSC Baltic III.
• MSC prévoit de pomper le carburant des réservoirs de fracturation à bord du MSC Baltic III vers les réservoirs de fracturation à bord de la barge pour être retiré du site. En effet, une fois que les réservoirs de fracturation à bord du navire seront pleins, ils seront trop lourds pour être soulevés sur la barge.
• Le carburant n'est pas pompé du MSC Baltic III directement dans les réservoirs de fracturation de la barge, car le chauffage et le pompage du combustible sont un processus qui prend du temps et nécessite que la barge soit à côté du navire pendant une période prolongée. C'est un défi avec les conditions météorologiques et maritimes dans la région.
• Les conditions météorologiques et maritimes continuent d'entraver certaines opérations. Environnement et Changement climatique Canada a installé une station météorologique mobile sur le site afin d'améliorer le service météorologique dans la région.
• Des quais flottants ont été installés pour accueillir les ressources de la Garde côtière canadienne afin de réduire la congestion des navires dans la région.
• La Garde côtière canadienne continue de superviser les opérations afin d'assurer une intervention raisonnable et appropriée, car il existe toujours un risque continu que la pollution pénètre dans le milieu marin.

D'autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu'elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Les évaluations terrestres et sur l'eau du MSC Baltic III se poursuivent, sans qu'aucune pollution n'ait été observée à l'heure actuelle. Cependant, il existe toujours un risque persistant que des polluants pénètrent dans le milieu marin. La surveillance et les évaluations régulières continueront jusqu'à ce que cet incident soit entièrement résolu.
• Les conditions météorologiques ont permis un certain accès sur l'eau au MSC Baltic III. L'entreprise de sauvetage poursuit la préparation de l'équipement pour les opérations de chauffage et de transfert du carburant.
• Le remorqueur et la barge, contractés par MSC, ont pu accoster le MSC Baltic III pour charger des réservoirs de fracturation et un barrage flottant à bord du navire. Les réservoirs de fracturation serviront à stocker et à décharger le carburant.
• Les contenants contenant les billes de polymère, considérées comme des marchandises dangereuses, ont été retirés du navire.

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• Le vendredi 7 mars, un point de presse a été organisé pour faire le point sur les opérations en cours sur le site du Baltic III.
• Comme indiqué à ce moment-là, il est difficile de prédire combien de temps dureront les opérations. Notre priorité est la sécurité des Canadiens, des premiers intervenants, ainsi que la protection du milieu marin et l’atténuation des dangers. Nous apprécions la coopération et la compréhension de la communauté locale pendant cette période.
• Le rôle de la Garde côtière canadienne est d’examiner les plans, d’assurer une surveillance, et de formuler des recommandations pour s’assurer que l’intervention est raisonnable et appropriée. Nous avons  établi un poste de commandement du lieu d’incident à la station de bateaux de sauvetage de Lark Harbour. Actuellement, 14 membres d’équipage d’intervention sont sur les lieux, un navire d’intervention environnementale (NIE) de 26 pieds, et un navire Rosborough, ainsi que le NGCC Jean Goodwill qui fournit un soutien au besoin. Nous avons également sur place une remorque d’intervention, 4 treuils de taille moyenne, un système de balayage à vitesse moyenne-élevée, deux réservoirs de pont, 800 mètres de barrage Romoteur, des véhicules tout-terrain, et 14 lests de câble-guide (ancres).
• L’état de la mer continue d’entraver les opérations sur l’eau. Les équipages de la Garde côtière canadienne continuent d’évaluer le MSC Baltic III depuis le rivage et par voie aérienne. Aucune pollution n’a été observée.
• MSC a proposé des options pour retirer le carburant et la cargaison du navire tant par mer et par terre. Une combinaison des deux solutions peut être utilisée. Ces options comprennent l’utilisation d’un remorqueur et d’une barge ainsi que de citernes portables, ainsi qu’un éventuel transport terrestre grâce à des améliorations et des extensions de la route pour permettre l’accès au MSC Baltic III. L’aménagement d’une route contribuerait également à atténuer les effets négatifs de l’état de la mer sur les opérations de récupération.
• L’entreprise de récupération mobilise l’équipement nécessaire pour chauffer et récupérer le combustible lourd des réservoirs de carburant, et a indiqué que les grues à bord sont opérationnelles et peuvent être utilisées pour décharger la cargaison.
• La zone d’urgence et d’accès restreint aux drones, mise en place pour la protection et la sécurité des intervenants dans le secteur et du public, a été réduite de 2 milles marins à 1 mille marin pour tenir compte de l’empreinte opérationnelle actuelle des entrepreneurs en charge des opérations de sauvetage.
• Nous reconnaissons qu’il y a des préoccupations concernant les répercussions sur l’industrie de la pêche du traffic maritime accru. Nous explorons des options pour réduire ces répercussions, y compris l’installation de quais flottants pour les actifs de la Garde côtière, en vue de réduire les problèmes de congestion dans la zone.
• Encore une fois, nous apprécions la compréhension et la coopération continues du public à l’appui d’une intervention sécuritaire, efficace et efficiente pour répondre à cet incident.

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• Notre priorité est la sécurité des Canadiens et la protection du milieu marin, en aidant à prévenir le rejet de polluants dans l’environnement et en atténuant les éventuels dangers posés par ce navire.
• Les équipages de la Garde côtière canadienne continuent d’évaluer le MSC Baltic III depuis le rivage et par voie aérienne. Aucune pollution n’a été observée.
• La GCC maintient un état de préparation de niveau élevé pour intervenir en cas de dangers ou d’éventuels polluants qui pénètrent dans le milieu marin, et le NGCC Jean Goodwill reste sur les lieux avec de l’équipement à bord pour intervenir en cas de déversement, et fournit de l’aide au besoin.
• L’état de la mer continue de gêner certaines opérations sur l’eau.
• Des discussions sont en cours sur l’aménagement possible d’une route pour faciliter l’accès au navire. Si un tel aménagement est mis en Å“uvre, cela contribuerait également à atténuer les mauvaises conditions de mer sur les opérations visant à enlever le navire.
• Le manifeste fourni par le propriétaire du MSC Baltic III indique que la cargaison contient des matières répertoriées comme marchandises dangereuses. Il s’agit notamment de tissus, de produits alimentaires, de métaux et de billes polymères.
• L’équipe de sauvetage poursuit son évaluation du MSC Baltic III, dans la mesure où les conditions de mer le permettent, et élabore le plan de sauvetage.
• Compte tenu de l’état actuel du navire, il ne peut pas être renfloué en toute sécurité. L’accent sera d’abord mis sur la récupération du carburant et de la cargaison.
• Nous apprécions la compréhension et la coopération continues du public à l’appui d’une intervention sécuritaire, efficace et efficiente pour répondre à cet incident.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Les équipages de la Garde côtière canadienne continuent d’évaluer le MSC Baltic III depuis le rivage et par voie aérienne. Aucune pollution n’a été observée.
• Une évaluation de la coque a confirmé la présence de brèches ou de trous importants. Le navire semble s’être solidement ancré sur le fond marin et est actuellement stable.
• Le sondage des citernes a confirmé la présence d’environ 1,7 million de litres de mazout lourd et de gasoil marin à bord du navire. Aucune pollution n’a été observée.
• Le NGCC Jean Goodwill demeure sur les lieux avec de l’équipement à bord d’intervention en cas de déversement d’hydrocarbures, et fournit de l’aide au besoin.
• L'état de la mer a entravé certaines opérations au cours de la fin de semaine, notamment la capacité d’accéder au navire en toute sécurité.
• L’équipe de sauvetage poursuit son évaluation du MSC Baltic III lorsque l’état de la mer le permet. Cela comprend d’autres opérations de sondage des citernes et des inspections des cales à marchandise.

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• Les équipages de la Garde côtière canadienne continuent d’évaluer le MSC Baltic III depuis le rivage et par voie aérienne. Aucune pollution n’a été observée.
• Un rapport préliminaire de l’équipe de sauvetage indique qu’il y a un mélange d’eau huileuse dans la salle des machines et de l’eau dans certaines cales de chargement.
• Une équipe de plongée est sur place et a confirmé que 75 % de la coque du navire repose sur le fond marin.
• Une déformation de la coque du MSC Baltic III a également été observée.
• Le NGCC Jean Goodwill est maintenant sur les lieux avec de l’équipement d’intervention supplémentaire.
• L'état de la mer continue d'entraver certaines opérations, notamment la capacité de déployer de l'équipement d'intervention.
• L’équipe de sauvetage poursuit son évaluation du MSC Baltic III lorsque l’état de la mer le permet.

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• Les équipages de la Garde côtière canadienne ont effectué une évaluation à partir du rivage et un survol du site, et aucune pollution n'a été observée.
• Le NGCC Ann Harvey reste sur les lieux pour fournir de l'aide au besoin.
• Le NGCC Jean Goodwill a été retardé en raison de travaux en cours visant à maintenir ouvertes les voies de navigation dans les glaces, et se rendra dans la zone dès que les conditions opérationnelles et environnementales le permettront.
• L'équipe de sauvetage a pu monter à bord en toute sécurité du MSC Baltic III et poursuit son évaluation.
• L'état de la mer continue d'entraver certaines opérations, notamment la capacité de déployer de l'équipement d'intervention.

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• Le NGCC Ann Harvey est arrivé sur les lieux le lundi 17 février. La météo a entravé l’activité en début de journée. Lorsque les conditions météorologiques se sont améliorées, l’équipage a mis à l’eau leur embarcation rapide de sauvetage (ERS) pour un examen visuel du navire. Aucun risque de pollution n’a été observé.
• Le propriétaire du MSC Baltic III continue d’être pleinement coopératif. Nous avons été informés que le navire contient environ 470 conteneurs, dont plus de la moitié sont vides. Les autres contiennent des marchandises telles que de la nourriture, du bois et du papier. Nous essayons toujours de confirmer la quantité de diesel à bord.
• Une zone d’accès restreint aux drones a été établie autour du cargo MSC Baltic III échoué, car nous disposons d’hélicoptères conduisant des opérations dans la zone. Les opérateurs de drones ne doivent pas effectuer d’opérations de vol à moins de 2 milles marins dans la zone du MSC Baltic III, afin de s’assurer qu’il n’y a pas de conflit entre les ressources aériennes et les drones. Les pilotes de drones doivent suivre les et respecter toutes les autres lois, lorsqu’ils pilotent un drone.

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• Une fois l'équipage secouru, l'accent est mis sur l'aide aux efforts de sauvetage et l'intervention sur le milieu marin et en cas de dangers.
• Les conditions météorologiques dans la région continuent d'être un facteur alors que nous nous efforçons d'évaluer la situation et de déterminer les prochaines étapes.
• Les équipages de la Garde côtière canadienne et les représentants de la Société d'intervention maritime de l'Est du Canada (SIMEC) établissent une zone de rassemblement à Lark Harbour, à Terre-Neuve-et-Labrador.
• Une zone d'urgence (2 milles marins) a été établie autour du lieu de l’incident afin de faciliter les opérations et soutenir les efforts de sécurité maritime.
• Des équipages et de l'équipement supplémentaires de la Garde côtière canadienne sont en route pour déployés sur place. Le NGCC Jean Goodwill se rendra sur le site à partir de Canso (N.-É.) si les conditions météorologiques le permettent, et le NGCC Henry Larsen est prêt à Corner Brook (T.-N.-L.) pour faciliter les opérations.
• Des vols de reconnaissance pour évaluer la situation sont prévus aujourd'hui, en fonction des conditions météorologiques.
• Le propriétaire du MSC Baltic III a pleinement coopéré, et une équipe de la société de sauvetage engagée par le propriétaire est attendue dans la région aujourd'hui pour évaluer la situation.

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• Le samedi matin 15 février, le Centre des Services de communications et de trafic maritimes de Port aux Basques ont reçu un message Mayday du cargo MSC Baltic III situé à environ 12 milles marins à l'extérieur de l'entrée de la baie des ÃŽles, à Terre-Neuve-et-Labrador. Le navire a signalé une panne de courant.
• Les conditions météorologiques et maritimes dans la région sont défavorables, et le navire n'a pas été en mesure de jeter l'ancre et s'est échoué à Wild Cove, à l'ouest de Lark Harbour.
• Il y avait 20 personnes à bord. Tout l'équipage a été évacué en toute sécurité du navire par un hélicoptère Cormorant.
• La Garde côtière canadienne travaille en étroite collaboration avec ses partenaires d'Intervention.
• La cause et l'étendue de l'incident restent à déterminer.

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